L’apprentissage de la ville

Isabelle des Charbinières L’apprentissage de la ville

 

Pour  Luc Dietrich

« Il est beau d’être un homme triste, car il s’en trouve peu. »
« Je pensais tout seul, que la vie des hommes
est une traînée d’argent très rapide
comme celle des étoiles filantes.
Puis un jour, on ne sait pourquoi,
leurs yeux tombent dans l’ombre que
nous portons toujours avec nous, et on ne les revoit jamais plus. »